Digitaliser les processus qui impliquent du papier, de la gestion et des ruptures de processus c’est idéal. Si vous pouvez y ajouter un peu de mauvaise fois, quelques impasses et une pincée de règles absurdes, alors vous avez atteint un excellent niveau pour ne pas fidéliser vos clients, sauf s’ils sont captifs, alors tout est permis.
Ce petit billet pour partager avec vous la façon dont on construit des box pour ses usages propres et éventuellement pour ses développeurs et partenaires préférés.
Le filtrage DNS est vraiement efficace pour limiter les trafics vers des sites non sollicités et préserver un peu plus la vie privée. Vous qui avez lu mon précédent article sur pi-hole, voici de quoi compléter avec quelques listes de filtrage et leur contenu. Si vous disposez d’un autre outils de DNS qui accèpte les listes de filtrage, c’est le moment de regarder s’il n’y a pas de l’amélioration à faire.
Après une courte introduction à l’outil shiny de présentation des données travaillées avec le langage R, voici une version plus aboutie complétant quelques concepts de cette solution de dataviz.
La sécurité d’accès aux sites web est souvent basée sur un couple identifiant et mot de passe qui peut parfois s’avérer trop léger face aux données à protéger sur le compte. Sachant que la majorité des utilisateurs n’utilise pas de gestionnaire de mot de passe[1] permettant de conserver des versions complexes, la tendance est donc à l’utilisation systématique d’un mot de passe simple voir trivial (ie What is your password sur youtube). Proposer un mot de passe unique en complément peut alors s’avérer une bonne solution.
L’objet de ce billet est de présenter l’OTP et une implémentation simple avec quelques lignes de python.